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Saint-Brieuc fait son cinéma
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Sa situation géographique

Saint-Brieuc est une commune française située en Bretagne, dans le nord-ouest de la France. Préfecture des Côtes-d'Armor, elle en est également la ville la plus peuplée. Ses habitants sont appelés les Briochins et les Briochines. La ville donne son nom à la baie de Saint-Brieuc.
La ville est située au bord de la Manche, au fond d'une baie à laquelle elle donne son nom (baie de Saint-Brieuc).
À 144 kilomètres de Brest et 99 de Rennes, la commune est traversée par la route nationale 12, au kilomètre 416.
Saint-Brieuc est traversée par deux vallées où coulent les rivières Gouët et Gouédic. Le relief de la ville (altitude maximale de 134 m au réservoir de Berrien), avec ses deux vallées encaissées, a conduit à la construction de plusieurs ponts, notamment les deux viaducs de la nationale 12 inaugurés en 1980.
Saint-Brieuc est desservie par la ligne de TGV Paris - Brest. La ville est à environ 3 heures de train de la capitale française.
Source : Wikipédia

Histoire de la ville

Les origines de Saint-Brieuc : La ville tient son nom du moine Brieuc, son fondateur. Originaire du Ceredigion (actuel Pays de Galles), il s'installe sur les hauteurs aux alentours de 580 et fonde un monastère, près d'où se trouve encore la fontaine portant son nom. Le porche de la fontaine fut édifié en 1420 par Marguerite de Clisson, Comtesse de Penthièvre.
Saint Brieuc est un des sept saints fondateurs de l'Armorique. La ville était une étape de pèlerinage.
La cathédrale fut construite du XIIIe siècle au XVIIIe siècle (évêques de la ville). Elle servit de place forte, au cœur du "fort" de Saint-Brieuc, enceinte fortifiée de la cité.
Moyen Âge : En 848, le roi breton, Nominoë effectua un remaniement des évêchés sous sa coupe, après le départ des Normands. C'est à cette date que fut fondé l'évêché de Saint-Brieuc. Les reliques de Saint Brieuc, qui avaient été mises en sûreté à l'époque de l'invasion des Normands, reviennent dans la ville en 1210. Une procession est organisée, suivie d'une grande fête populaire.
1220 : élévation à l'épiscopat de Guillaume Pinchon, un des plus grands artisans de la construction de la cathédrale. Il mourut en 1234 et fut canonisé dès 1247 (saint Guillaume) par le pape Innocent IV sans voir l'achèvement de son œuvre par son successeur Philippe en 1248. Il s'agit du premier saint d'Armorique canonisé à Rome.
1355 : détruit dans un incendie, le chœur de la cathédrale est reconstruit en 2 ans sous les épiscopats de Guy de Montfort et de Hugues de Montrelais. Cathédrale-forteresse, elle servit souvent de dernier refuge aux habitants de la ville face aux agresseurs.
Au Moyen Âge, en l'absence d'égoûts, des rues étaient destinées à l'évacuation des déchets et eaux usées à l'air libre, les ingoguets. Leurs flux se mêlaient à ceux des ruisseaux et rivières aussi appelés "merderons", comme le Jouallan, la Grenouillère et le ru de Saint-Gouëno. L'absence d'urbanisme pensé et respecté se manifeste aussi dans les constructions parasitaires adossées à la cathédrale favorisant les incendies. Les modes de construction favorisaient les incendies : cela va du mode de couverture le plus répandu, les roz ou roseaux séchés, à l'utilisation de panneaux de bois, abondant, et dont les qualités d'isolation thermique et esthétique étaient recherchées.
Époque moderne : En 1592, la plaine Saint-Michel au nord de la ville devient le lieu de la première bataille rangée des guerres de la Ligue en Bretagne (la bataille de Craon au printemps 1592 s'étant déroulée en Mayenne). Elle oppose une armée ligueuse commandée par Saint-Laurent d'Avaugour aux troupes de René de Rieux, sieur de Sourdéac. Les ligueurs qui assiégeaient la tour de Cesson y sont défaits. Certains d'entre eux, retranchés dans la cathédrale y détruisent les archives alors détenues.
En 1598, suite aux guerres de religion, la décision de détruire la place forte de la Tour de Cesson est prise. Ses ruines dominent toujours la baie de Saint-Brieuc. L'administration municipale est mise en place à la fin de ce siècle.
Révolution française : En 1790, sous la Révolution française, Saint-Brieuc devient le chef-lieu du département des Côtes-du-Nord (renommé Côtes-d'Armor le 8 mars 1990). Parmi les personnages politiques notables de l'époque, on peut noter Palasne de Champeaux et Poulain de Corbion qui furent élus députés du Tiers état en 1789. Durant cette période, la commune porta provisoirement le nom de Port-Brieuc.
En 1793, pendant la Terreur, la guerre civile entre les Chouans et les Bleus fit rage. Dans la nuit du 5 brumaire an VIII (25 octobre 1799), une troupe de chouans délivra de la prison de la ville des prisonniers royalistes condamnés à mort. Le procureur Poulain de Corbion, ancien maire de la ville (1779-1789), fut tué au cours de cette nuit du combat de Saint-Brieuc.
Le XIXe siècle :
1819 : Aménagement du port du Légué et de ses quais avec un nouveau pont et de nouveaux entrepôts. Création d'une chambre de commerce à Saint-Brieuc.
1863 : Arrivée du chemin de fer (ligne Paris-Brest).
Le XXe siècle : La Libération de Saint-Brieuc par les troupes américaines du général George Patton survint le 6 août 1944. Des combats ont lieu entre les Allemands (notamment avec les Russes blancs de l'armée Vlassov) et les FFI depuis le 4 août, provoquant la mort ce jour-là de 5 résistants.
L'après-Seconde-guerre-mondiale : Le 13 mars 1972, les ouvrières de l'usine du Joint Français débutent une grève qui s'achève, 8 semaines plus tard, le 8 mai 1972. Cette grève du Joint Français a un écho national dans l'opinion.
1970 : Construction des tours de la Croix-Lambert.
1974 : 1re édition des Foulées Briochines.
1979 : Ouverture du nouvel hôpital de la Beauchée, qui est rebaptisé hôpital Yves Le Foll peu après le décès de ce dernier.
1980 : La déviation de l'axe Rennes-Brest est ouverte.
1983 : 1re édition du festival Art Rock.
1992 : Création du district du Pays de Saint-Brieuc. La future Communauté d'agglomération de Saint-Brieuc (CABRI) compte à l'époque 10 communes et 90 000 habitants. Mise à l'eau du Grand Léjon, gréement traditionnel reconstruit à l'identique des lougres de travail naviguant en baie de Saint-Brieuc.
1994 : Ouverture de l'IUT.
1995 : Inauguration de l'espace Steredenn, destiné à accueillir les manifestations sportives et culturelles - Saint-Brieuc accueille le départ en soirée de la 82e édition du Tour de France cycliste - Destruction du viaduc de Souzain.
Le XXIe siècle :
2002 : Ouverture du complexe aquatique d'Aquabaie.
2004 : 100 000 personnes présentes à Saint-Brieuc pour voir l'arrivée du Tour de France cycliste.
2007 : Organisation de plusieurs matchs du Championnat du monde de handball féminin 2007.
2009 : Organisation des Championnats de France de cyclisme sur route - Inauguration du centre commercial « Les Champs » au centre-ville.
2010 : Inauguration de l'Hermione (salle de congrès et de spectacles) et de la Cité de la Musique et de la Danse dans un ancien couvent rénové.
2012 : Déconstruction des tours de la Croix-Lambert.

Source : Wikipédia

Les films tournés à Saint-Brieuc

Les années 1940

LA BATAILLE DU RAIL

1944, France, Guerre
Réalisé par René Clément
Scénario de René Clément & Colette Audry
Photographie d'Henri Alekan
Musique d'Yves Baudrier
Son de Constantin Evangelou
Durée 1 h 25

Avec Jean Clarieux, Jean Daurant, Tony Laurent, Lucien Desagenaux, Léon Pauléon, Jean Rauzéna, Rédon, Pierre Mindaist, Jean Lozach, Charles Boyer (Voix)...

Résumé : C'est l'histoire de la lutte des cheminots français pour la libération de notre pays. Dans une gare de province, le chef de gare Athos ainsi que son adjoint Camargue organisent les actions de résistance et ceci jusqu'à que le premier train libéré passe de nouveaux sur le réseaux des chemins de fer français...

Prix & Récompenses : Festival de Cannes 1946 : Prix du jury international & Grand prix international de la mise en scène.

Les années 2000

L'HEURE ZÉRO

2007, France, Policier
Réalisé par Pascal Thomas
Scénario de François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Clémence De Biéville & Roland Duval d'après le roman "Towards zero"
Photographie de Renan Pollès
Musique de Reinhardt Wagner
Décors de Katia Wyszkop
Costumes de Catherine Bouchard
Montage de Catherine Dubeau, Marie De La Selle & Elena Mano
Son de Pierre Lenoir
Mixage de Claude Villand
Scripte de Karinne Lecoq
Durée 1 h 47

Avec François Morel, Danielle Darrieux, Melvil Poupaud, Laura Smet, Chiara Mastroianni, Alessandra Martines, Clement Thomas, Xavier Thiam, Jacques Sereys, Dominique Reymond, Pascal Thomas...

Résumé : Quelle drôle d'idée a eue Guillaume Neuville de rassembler pour des vacances de fin d'été à la Pointe aux Mouettes, chez sa tante la riche Camilla Tressilian, son ex-épouse Aude et la nouvelle tenante du titre, l'explosive Caroline, sous prétexte d'en faire des amies... C'est de l'inconscience pour ne pas dire plus car il n'a quand même pas la naïveté de croire qu'elles vont tomber dans les bras l'une de l'autre. Si ces deux femmes que tout oppose ne se sont pas encore écharpées, c'est qu'elles se retiennent. Pour l'instant. Les vertus calmantes de l'air marin et de la côte Bretonne, sans doute.... Mais les choses n'en resteront pas là. Deux Madame Neuville sous le même toit, c'est une de trop. D'autant que l'Heure Zéro arrive : celle où tout converge pour que le crime parfait soit exécuté dans ses moindres détails... Réticente à l'idée de recevoir sous son toit les deux épouses Neuville, Mme Tressilian finit par s'y résoudre. Elle sait qu'on ne peut rien contre l'évolution des mœurs. Cette étrange réunion de famille tourne à la tragédie, lorsque l'on trouve un beau matin Mme Tressilian assassinée dans son lit, le crâne fracassé...