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Evry fait son cinéma
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Sa situation géographique

Évry est une commune française située à 26 kilomètres au sud-est de Paris, préfecture du département de l’Essonne, dans la région Île-de-France. Elle est le chef-lieu du département, de l’arrondissement d'Évry, des cantons d’Évry-Nord et Sud, le siège de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne, du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes et du doyenné d’Évry.
Du village agricole en bord de Seine parsemé de châteaux qu’il était jusqu’au sortir des années 1950, fut créée en 30 ans une ville nouvelle de 50 000 habitants, une préfecture, un évêché, un pôle économique, éducatif et de recherche, conjuguant les atouts de plus de 2 000 entreprises et administrations et les faiblesses d’une banlieue trop rapidement urbanisée, aujourd’hui symbole d’insécurité, d’où émerge pourtant une diversité culturelle, cultuelle et urbanistique où se mêlent barres HLM et meulières Art nouveau, rap français et scène nationale, presbytère du XVIIe siècle et unique cathédrale française du XXe siècle.
Évry, qui a perdu son statut de ville nouvelle en 2001, est aujourd’hui en quête de renouvellement urbain, pour valoriser ses qualités environnementales, économiques, scientifiques, sportives et sortir de l’image véhiculée par les médias de "cité sensible", en s’appuyant notamment sur les quatre dixièmes d’Évryens âgés de moins de vingt-cinq ans.
Ses habitants sont appelés les Évryens.

Source : Wikipédia

Histoire de la ville

Les origines : Une villa rustica fut installée en bord de Seine sur l’ancienne Via Agrippa par un certain Aper. La première mention écrite du lieu remonte à l’an 998 lorsque le seigneur du lieu Ermenfred légua ses biens à l’abbaye de Saint-Maur. La commune fut appelée sous son nom actuel à partir de 1376 alors que la première église remontait au XIIIe siècle et fut ruinée lors de la guerre de Cent Ans.
Évry et la noblesse de robe : Au XVe siècle, l’église Saint-Pierre fut reconstruite dans un axe classique Est-Ouest. À partir de la Renaissance, la localité d’Évry-sur-Seine devint un lieu de villégiature pour les courtisans et surtout la noblesse de robe qui construisit sur les hauteurs de la rive gauche du fleuve des "maisons de campagne". Ce fut l’âge d’or des châteaux de Beauvoir, Bataille, Petit-Bourg, Grand-Bourg, Mousseau, Neufbourg et les Tourelles. Ce fut ainsi la marquise de Montespan qui fit construire en 1646 et accueillit son amant le roi Louis XIV à Petit-Bourg, suivie par le duc d’Antin qui donna à l’église paroissiale des fonts baptismaux en marbre rouge et la duchesse de Bourbon qui fit reconstruire le château par Jean-Michel Chevotet en 1756. En 1674 fut construit le château de Neubourg, en 1688, il fut racheté par le vicomte Jean-Baptiste de Rosta. Racheté en 1713 par le marquis de Raies, il fut détruit en 1775. Le château du Mousseau fut construit par Louise Renée de Penancoët de Keroual puis occupé successivement par la famille de Cossé-Brissac, par René Nicolas de Maupeou et enfin par la famille de Noailles avant d’être détruit en 1860. En 1741, l’église fut doublement consacrée à Saint-Pierre et Saint-Paul. Le 4 avril 1789 se tint en l’église la réunion de doléances. À partir de cette époque commença l’exploitation de carrières de meulière.
Les grands industriels : Après la Révolution, la noblesse fut remplacée par de grands industriels qui dominèrent la vie de la commune. Le richissime Alexandre Aguado en fut maire de 1831 à 1840, il apparut comme un mécène et accueillait des hôtes illustres dont le général argentin José de San Martín. Au début du XIXe siècle, le prêtre catholique converti Théodore Ratisbonne reçut en don le château de Grand-Bourg, à charge pour lui de créer une structure d’accueil pour les jeunes filles juives voulant se convertir au christianisme. Ce fut la création de l’école Notre-Dame de Sion. Entre 1828 et 1830 fut construite la mairie-école au village et en 1830 le château de la Grange-Feu-Louis. En 1832, le cimetière jusqu’alors situé autour de l’église fut déplacé lors de la deuxième pandémie de choléra (1826-1841).
Le 17 septembre 1840 fut inauguré la ligne Paris-Corbeil et la nouvelle gare d’Évry-Petit-Bourg en présence des ministres des Travaux Publics, de la Justice et du Commerce. En 1850, un lavoir fut construit, mais les lavandières continuèrent d’utiliser le fleuve voisin. Peu après, le fils d’un agriculteur spécialisé dans la betterave distillée, Paul Decauville inventa un nouveau mode de transport, la voie ferrée mobile qu’il breveta. Il installa alors les usines Decauville à Évry et plus tard Corbeil. En 1860, le riche banquier Ravenaz fit construire le château de Grand-Bourg. En 1862, il fit construire le château des Tourelles, vendu ensuite à la famille Pastré. Devenu maire en 1881, il obtint la modification du nom vers Évry-Petit-Bourg, du nom du château qu’il possédait. En 1906 fut construite l’écluse sur la Seine. En janvier 1910, le bas du village fut inondé lors de la crue de la Seine. Lors de la Seconde Guerre mondiale, la Gestapo s’installa dans le château de Petit-Bourg. Plus tard, le 16 novembre 1943, les militants communistes et résistants Missak Manouchian et Joseph Epstein furent arrêtés au sortir de la gare par la police de Vichy et exécutés les 21 février et 11 avril 1944 au Mont-Valérien. Le 23 août 1944, la troisième Armée des États-Unis commandée par le général George Patton franchit la Seine par le pont reconstruit entre Étiolles et Évry. Les châteaux ne résistèrent pas au conflit, ce qui n’était alors qu’un village de villégiature avec 1 274 habitants en 1946, commença à croître et devenir une ville de banlieue. À cette époque Georges Delbard acheta la ferme de Petit-Bourg pour y installer cinq hectares de serres à rosier. En 1949, le dernier château d’Évry (château de Beauvoir) fut vendu à la Sécurité sociale pour en faire un centre de réadaptation. En 1960, la commune fut reliée à la capitale par l’autoroute A6 et le 29 avril 1961 fut inauguré par le premier ministre Michel Debré le nouvel hôtel de ville de la commune, préfigurant de grands bouleversements.
Évry, ville nouvelle : À la suite de la création du nouveau département français de l’Essonne par la loi du 10 juillet 1964, la commune devint son chef-lieu le 25 février 1965. C’est ensuite le 20 mai 1965 que fut décidée par l’institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Île-de-France de construire 5 villes nouvelles autour de Paris (Évry-Ville-Nouvelle, Cergy-Pontoise, Marne-la-Vallée, Saint-Quentin-en-Yvelines et Melun-Sénart). Le schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme confié à Paul Delouvrier comportait la création d’une nouvelle agglomération au sud de la capitale sur le territoire de quatre communes, Évry-Petit-Bourg (qui perdit son qualificatif), Bondoufle, Courcouronnes et Lisses. Le 12 avril 1969 fut effectivement constitué l’établissement public d'aménagement de la ville d’Évry, chargé d’acquérir des terrains, de les viabiliser, de les revendre avec un droit de construire à des promoteurs ou des industriels et de constituer des réserves foncières. Puis en application de la loi du 10 juillet 1970, un cadre juridique fut donné aux villes-nouvelles. En 1971, le président de la République Georges Pompidou inaugura la nouvelle préfecture, permettant ainsi aux services de déménager de Corbeil-Essonnes, ancienne sous-préfecture de Seine-et-Oise.
La construction de la ville s’enchaîna ensuite, avec l’emménagement des habitants des quartiers du Parc-aux-Lièvres et du Champtier-du-Coq en 1972, accompagnés de la nouvelle église Notre-Dame-de-l’Espérance et en 1973 du relais Saint-Jean, suivis par les quartiers Champs-Élysées, Aguado et les Pyramides en 1974, visité le 15 octobre 1972 par le ministre de l’équipement Olivier Guichard53. Cette même année, la commune vit l’installation du CNES après la fermeture du centre de Brétigny-sur-Orge. Le 22 novembre 1973 fut constitué le syndicat communautaire d’aménagement. Le 19 mars 1975 eu lieu l’inauguration du centre commercial de l’Agora avec notamment l’enseigne des Nouvelles Galeries, futur Évry 2, suivi en décembre par l’ouverture des gares d’Évry-Courcouronnes et du Bras-de-Fer sur ce qui allait devenir la ligne D du RER d'Île-de-France. En 1976, les nouvelles arènes furent le théâtre de l’élection Miss France. En 1977, l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul fut restaurée. En 1978 furent percés les passages permettant la constitution d’une ébauche de centre-ville et le cardinal François Marty vint célébrer une messe chrismale dans l’église du Parc-aux-Lièvres, puis entre 1979 et 1980 sorti de terre le quartier des Épinettes, suivi entre 1981 et 1982 de celui des Aunettes. À partir de 1980 commencèrent les travaux de la synagogue communautaire. En 1978, la commune accueillit les locaux de l’École supérieure des géomètres et topographes puis en 1979 ceux de Télécom & Management SudParis et en 1980 le groupement Arianespace.
En novembre 1982, Jack Ralite, ministre de la Santé inaugura l’hôpital Louise Michel sur la commune voisine alors associée de Courcouronnes. À la suite de la loi Rocard de 1983, le syndicat communautaire devint le syndicat d'agglomération nouvelle en 1985, l’année de commencement des travaux de la mosquée d'Évry-Courcouronnes. En 1983 fut aussi achevé le quartier de Bois-Sauvage et s’installa le deuxième magasin Ikea de France. En 1989, l’achèvement de l’ensemble de Bois-Guillaume, permit à la commune de dépasser le cap des 30 000 habitants. En 1987 s’installèrent en centre-ville les sœurs moniales dominicaines et la commune reçut le titre de "ville championne d’entreprises" par le magazine Entreprendre, juste avant l’implantation de la nouvelle Université d'Évry-Val d'Essonne et de la chambre de commerce et d'industrie de l'Essonne, dans des locaux inaugurés le 28 septembre 1991 par le président de la République François Mitterrand en même temps que le nouvel hôtel de ville. Le 27 janvier 1990 fut ouverte au culte l’église adventiste du septième jour dans le quartier des Aunettes. À partir de 1992 commença le projet de construction de la pagode et la construction de la cathédrale de la Résurrection, achevée en 1995 et inaugurée lors de la visite du pape Jean-Paul II le 22 août 1997 alors que ne commençaient seulement les travaux de la pagode. En 1998, fut créé le Génopole avec les fonds du Généthon.
Achèvement et renouveau : Le 28 août 2000, un décret prononça l’achèvement des opérations de construction et d’aménagement de la ville nouvelle d’Évry. Le 1er janvier 2001 le SAN devint donc une communauté d'agglomération baptisé pour l’occasion "Évry-Bondoufle-Courcouronnes-Lisses". En 2001, la commune fut aussi ville-étape du Tour de France. Cette communauté s’élargit en 2003 à la commune voisine de Ris-Orangis alors que le 21 mai de la même année était inauguré le nouveau centre commercial Évry 2. Le 1er janvier 2004, la nouvelle structure prit le nom de communauté d'agglomération Évry Centre Essonne.

Source : Wikipédia

Les films tournés à Evry

Les années 1990

LA TOTALE !

1991, France, Comédie
Réalisé par Claude Zidi
Scénario de Didier Kaminka, Simon Michaël & Claude Zidi
Photographie de Jean-Jacques Tarbès
Musique de Vladimir Cosma
Décors de Françoise Deleu
Costumes d'Olga Pelletier
Montage de Nicole Saunier
Son de Jean-Louis Ughetto
Montage son de Jean Gargonne
Durée 1 h 42

Avec Thierry Lhermitte, Miou-Miou, Eddy Mitchell, Michel Boujenah, Jean Benguigui, Annick Alane, Claudine Wilde, François Hadji-Lazaro, Yan Epstein, Sagamore Stévenin, Frédéric Diefenthal, Henri Attal...

Résumé : François Voisin est un homme rangé : marié et père de famille, ingénieur aux Telecoms. Rangé mais pas tranquille, car en réalité il est, bien entendu à l'insu de ses proches, agent secret, multipliant les missions avec son compère Albert, roi de la bricole technologique. Tout irait bien s'il ne découvrait que son grand fils Julien sèche les cours au lycée et que son épouse Hélène se laisse aller à une aventure avec un certain Simon. Tout cela en même temps : c'est 'la totale !' François voit rouge. Surprenant Julien en train de voler de l'argent dans la veste d'Albert, il le fait suivre par toute une armada d'agents...


Les années 2000

BANLIEUE 13

2004, France, Action
Réalisé par Pierre Morel
Scénario de Luc Besson & Bibi Naceri
Photographie de Manuel Teran
Musique de Bastide Donny, Da Octopuss & Damien Roques
Décors d'Hugues Tissandier & Gérard Marcireau
Direction artistique de Vraciu Eduard Daniel
Costumes de Martine Rapin & Alexandre Rossi
Montage de Stéphanie Gaurier & Frédéric Thoraval
Son de Frédéric Ullmann
Montage son d'Alexandre Hernandez & Maud Lombart
Casting de Swan Pham
Scripte d'Isabelle Querrioux
Durée 1 h 24

Avec Cyril Raffaelli, David Belle, Tony D'Amario, Bibi Naceri, Dany Verissimo-Petit, François Chattot, Nicolas Woirion, Patrick Olivier, Samir Guesmi, Ludovic Berthillot, Lyès Salem...

Résumé : Paris, 2013. Damien est l'élite de la police. Officier d'une unité spéciale d'intervention, expert en arts martiaux, il est passé maître dans l'art de l'infiltration et sait mener à terme ses opérations par des actions rapides, précises et néanmoins musclées. Et c'est bien la mission la plus extrême de sa carrière qui vient de lui être confiée : une arme de destruction massive a été dérobée par le plus puissant gang de la banlieue. Damien est chargé d'infiltrer dans le secteur pour désamorcer la bombe ou la récupérer...